Safari dans le parc national du Chitwan

Réveil à 5h pour se ballader à dos d’éléphant,

Le soleil se lève, la lumière est belle et nous profitons du calme matinal qui règne sur la jungle . L’éléphant sur lequel nous sommes perché est têtu et préfère s’arrêter pour brouter de l’herbe ou uriner. Nous apercevons un rhinocéros à une corne qui sieste dans les nénuphars avec un oiseau perché sur ses fesses .

Un beau moment  !! Nous apercevons des Daims et Jeremy termine la ballade en conduisant l ‘éléphant. Nous profitons de faire farniente dans ce luxueux lodge avant de repartir en ballade l’après midi sous l’orage. Les éclairs se multiplient, nous sommes dans la pirogue inondée mais apparemment cela ne craint rien. Heu are you sure ?? ( Un éclair s’abat sur un arbre qui tombe et Kalu rigole .. ) Après la visite d’une ferme de reproduction de crocodiles nous rentrons à pied dans la jungle avec kalu , le guide naturaliste rigolo qui imite les bruits d’animaux. Il nous fait marrer et on fait 3 têtes de plus que lui. Nous croisons un énorme rhinocéros qui enjolive cette fin de journée en « wild life » .

Samedi 25 avril

Nous débutons cette journée par une ballade le long de la rivière avec notre guide rigolo Kalu en observant les oiseaux.

Nous avons pu apercevoir plusieurs espèces de hérons, des martins-pêcheurs et d’autres que nous nous sommes contentés d’entendre tout cela avec les commentaires du guide sur leurs comportements. Nous avons ensuite été trimballé en charrette jusqu’à un village Tharu pour une visite.

Cette ethnie vis encore dans des maisons typiques faites de glaise pour les murs et d’herbes à éléphant pour le toit mais avec la télé rassurez-vous. En attendant le déjeuner, nous avons été dérangé par un gros tremblement de terre qui nous a secoué mais nous étions loin de l’épicentre et sommes saufs contrairement aux gens des grandes villes du Népal. Cette après-midi, nous sommes repartis de notre lodge après avoir reposé notre derrière de nos kilomètres parcourus et nous prenons la direction de Lumbini ( lieu de la naissance de Bhoudda ) près de la frontière indienne. Il a voulu comprendre la signification de l’existence de l’homme à l’âge de 29 ans après avoir vu la misère en se baladant à cheval. On a 29 ans et on se ballade à vélo cherchez l’erreur.

Sur la route, nous avons commencé a réaliser l’ampleur de ce séisme car tout le monde était dehors de crainte d’une nouvelle secousse. Ensuite nous avons vu les gens se préparer à dormir dehors et qui écoutaient la radio pour se tenir au courant. Nous avons rencontré des petits gars Azul,Bipin et Beveyg ( qui parlaient anglais ce qui est rare ) et ils nous ont appris qu’il y avait plusieurs centaines de morts.Nous sommes allés nous coucher avec un sentiment bizzare en regardant les gens camper devant chez eux.